la marionnette

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Cinquième étape ! Après les quartiers de Mireuil et de Villeneuve-les-Salines à La Rochelle, après la ville de Mourenx dans le Béarn, après la commune de Moustey dans le PNR des Landes de Gascogne, le chantier s’installe à Parthenay. Nous sommes accueillis dans la magnifique chapelle des Cordeliers alors que le festival Ah ? s’installe dans la ville.

Nous accueillons les CM2 de l’école Gutenberg, les classes de 3^e et de 4^e du Collège Pierre Mendès France, 3 classes de 4^e du Collège du Marchioux, les CM1 CM2 de l’école Jacques Prévert, les 4^es 3^es de l’Etablissement Régional d’Enseignement Adapté, des jeunes gens de l’Institut Médico-Éducatif, les CM1 CM2 de l’école de La Peyratte, les étudiants de la Maison Familiale Rurale de Saint-Loup/Thouet, et l’accueil périscolaire de Châtillon.

Les bras et les jambes sont terminés. On barde à fond le bassin et le buste. Et on attaque les structures des pieds et des mains.

Première étape de construction de la marionnette !

Nous sommes installés dans le hall du centre social de Villeneuve-les-Salines.

Lors des matinées nous accueillons les classes de CM1 et CM2 de l’école Paul Doumer, des classes de 1^re et de seconde du lycée Valin, les enfants du centre de loisirs de Condorcet, le secteur jeunes du centre social, l’école maternelle Condorcet, le Groupe d’Entraide Mutuelle, ainsi que les étudiants de la Classe Horaires Aménagés Arts de la Rue.

Chacun peut venir et revenir librement lors des après-midis.

C’est le tout début de la construction, nous mesurons les gabarits des mollets et des bras de la marionnette, nous réalisons ensemble les cerclages qui relient les extrémités des gabarits, puis certains membres commencent à être bardés de lignes d’osier.

C’est l’hiver. Nous faisons régulièrement des goûters pour nous réchauffer.

Troisième étape de construction à Mourenx. Après les quartiers de Mireuil et de Villeneuve-les-Salines à La Rochelle, le chantier de construction s’installe dans le Béarn, sur la Communauté de Communes de Lacq Orthez.

Pendant une semaine, nous accueillons notamment les CM1 et CM2 de l’école de Casteide, quatre classes de 5^e du collège Gaston Fébus d’Orthez, le service animation jeunesse de Mourenx, l’école d’Ozenx, la classe de 6^e du collège de Mourenx, les CM1 CM2 de l’école de Lagor et ceux de l’école Victor Hugo, les enfants du CLAS, les seniors du centre social d’Orthez, le centre de loisirs de Mourenx, le foyer de jeunes de Monein, la clinique fondation santé, des étudiants d’Aire sur l’adoure, et des résidents de l’Ehpad de Mourenx.

Le chantier est ouvert librement à toutes et tous durant les après-midis.

Lors de cette étape nous continuons le bardage des bras et des mollets, et nous nous attaquons plus particulièrement à la structuration des cuisses, du buste et du bassin.

Quatrième étape ! Après les quartiers de Mireuil et Villeneuve-les-Salines à La Rochelle et la ville de Mourenx dans le Béarn, le chantier s’installe à Moustey dans le PNR des Landes de Gascogne.

Nous accueillons l’ESAT « le cottage de Moustey », le centre de loisirs de la Comm Comm Coeur Haute Lande, les CM1 CM2 de l’école de Saugnac et des résidents de l’EHPAD de Moustey.

Le chantier est ouvert chaque après-midi et le week-end, librement pour toutes et tous.

Nous réalisons les ourlets des manches et du short de la marionnette. Le buste et le bassin avancent à pas de géant !

Deuxième semaine de construction. Lors des matinées, nous accueillons : les classes de CM1 et CM2 de l’école Jean Bart, des classes de 6^e et de 5^e du Collège Pierre Mendès France, des personnes de l’IME du Breuil et de l’IME de Saint Ouen, le secteur famille et le secteur jeune du CSC Le Pertuis, des personnes de l’ADEI, 40 jeunes adultes en service civique avec Unis-Cité, des étudiants de la Classe Horaires Aménagés Arts de la Rue, le Groupe d’Entraide Mutuelle et des jeunes gens venus avec la mission locale. Top !

Chacun peut venir et revenir librement lors des après-midis.

Nous continuons à mesurer et assembler les gabarits des membres de la marionnette, et nous peignons le squelette métallique.

Présentation du projet

Pour jouer ou résister, pour rêver ou travailler, revendiquer ou pour survivre, pour se rassembler ou être seul, toujours pour s’abriter, les personnes qui fabriquent et utilisent des cabanes se positionnent en marge du monde global.

Nous souhaitons utiliser cette posture, cette image de la cabane pour questionner notre rapport au monde, pour évoquer le fragile équilibre qui nous abrite.